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NOS METTEURS EN SCENE

Mathilde Bagein

SA VISION DU MÉTIER :

"Le Théâtre est une grande fête ! Un événement qui rapproche et nous permet de vibrer ensemble. Depuis toute petite, j’adore voir les acteurs se métamorphoser et captiver le public... Pour moi, c’est dans ce lien entre acteurs et spectateurs que se crée la magie du spectacle.  

Mais pour un soir de magie, il faut des mois de travail ! 

De nombreuses heures de construction, de recherche, de tentatives, de bides, de fous rires, de larmes… et puis répéter encore et encore. Jusqu'à ce moment merveilleux où la pièce vit en nous, le travail est accompli, tout est prêt, le trac monte… le rideau se lève, la lumière monte. C’est parti !"

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SON PARCOURS :

C'est au Conservatoire de Lille que Mathilde acquiert les bases du jeu d’acteur. Une licence d’Art du Spectacle en poche, elle va compléter sa formation à travers des stages internationaux principalement dédiés à la méthode Suzuki/Viewpoints. C’est ainsi qu’elle entend parler d’une école à Singapour - l’Intercultural Theatre Institute - qu’elle rejoint en 2015. Elle en sort diplômée en 2018, et travaille depuis pour Centre Stage - School Of The Arts.

Emilie

a mis en scène

 

 

2012 - Venise sous la neige

2014 - Les liaisons dangereuses

2013 - Un air de famille

2015 - Les tordus de rire (L'humour contre l'intolérance)

2017 - Deux sur la balançoire

2017 - Du vent dans les branches de sassafras

2018 - Le médecin malgré lui

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Mathilde

a mis en scène

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2023

Art

L'Illusion comique, d'à peu près Corneille

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2022

Huit femmes

Et avec sa queue, il frappe !

Les précieuses ridicules

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2021

Hard copy

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2019

Couple ouvert à deux battants

Cuisine et dépendances

Art

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2018

Art

Émilie borrel

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Emilie

a mis en scène

 

2012 - Venise sous la neige

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2014 - Les liaisons dangereuses

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2013 - Un air de famille

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2015 - Les tordus de rire (L'humour contre l'intolérance)

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2017 - Deux sur la balançoire

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2017 - Du vent dans les branches de sassafras

2018 - Le médecin malgré lui

SA VISION DU MÉTIER :

"A chaque pièce, chaque univers, inventer un nouveau langage, une nouvelle façon de communiquer mes émotions avec les comédiens. Se renouveler, toujours, pour ne jamais tomber dans la facilité, préserver l’étincelle de la création… pas de théâtre sans passion !

Amusante coïncidence, les personnages des pièces que j’ai dirigées se retrouvent toujours autour d’un repas. Or, sur scène et en coulisses, cela peut réserver de drôles de surprises : comme le thé vert imbuvable qui a tourné dans les bouteilles de Suze, ou la bouillie de flocons d’avoine au Milo des cowboys de Sassafras."

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SON PARCOURS :

Après 12 ans de production, de mise en scène et d’interprétation, Émilie fête une reconversion professionnelle réussie. Aujourd’hui présidente d’honneur de l’association à but non lucratif : The Theatre Factory, elle enseigne également le théâtre aux enfants. A Singapour, vous avez pu la voir sur les planches dans : "Les femmes savantes", "Le père noël est une ordure" & "L’atelier".

Sophie Bendel

SA VISION DU MÉTIER :

"Tout part d’un texte, d’une vision et de l’envie de partager ça avec le public. Alors, tout se met en marche : la mise en scène, la direction des acteurs, la création des lumières et des décors, des costumes, la recherche du financement… Tout ce qui permet à la magie du théâtre d’opérer me fascine. Tant d’énergie et de personnes centrées vers un seul but. Si le théâtre demande de donner beaucoup de soi, il permet aussi de recevoir prodigieusement. Et de retomber joyeusement en enfance… Comme les comédiens de Cyrano, qui n’arrivaient plus à se séparer des magnifiques costumes et épées dans lesquels ils paradaient fièrement, sur scène et en coulisses !"

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SON PARCOURS :

Sophie a découvert le théâtre classique à Paris selon les principes de Jean Laurent Cochet sous l’égide de Frédéric Holmer et Olivier Leymarie. Puis le théâtre moderne avec Damien Acoca, elle aide à monter un festival à Rouen, joue à Paris et à Genève avant de s’expatrier à Singapour.

Productrice, metteuse en scène et fondatrice de The Théâtre Factory, elle a joué dans "Venise sous la neige", "Jean et Béatrice" et "Le père noël est une ordure".

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Sophie

a mis en scène

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2012 - Cyrano de Bergerac

2013 - Séduction, ou l'art de se prendre un râteau dans la littérature française

2014 - Les femmes savantes

2016 - La guerre de Troie n'aura pas lieu

LAEtitia Cappoen

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Laetitia

a mis en scène

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2017 - L'atelier

2018 - Un temps de chien

SA VISION DU MÉTIER :

"La scène est vide, et c’est au metteur en scène de la remplir, faire le casting, choisir le décor, décider comment sera dit chaque mot, aider un artiste à donner le meilleur de lui-même, c’est passionnant ! Sur l’un de mes projets, j’ai réglé les problèmes de planning, de costumes, de diction, d’ego ou de trac d’une équipe de 99 femmes, le mot impossible est maintenant rayé de mon vocabulaire !

Au théâtre tout est possible ! Et peut être qu’une chaussure ne sera jamais retrouvée à temps pour monter sur scène ou qu’une porte du décor tombera au milieu de votre réplique, mais le spectacle continue, c’est magique !"

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SON PARCOURS :

Premier rôle à 11 ans dans une comédie musicale, puis des études de théâtre à New York, Londres et Paris font découvrir à Laëtitia d’autres textes, d’autres types de jeux et surtout le monde des coulisses. Elle fonde sa première compagnie de théâtre à 23 ans, pour mettre en scène, jouer et produire des comédies, des boulevards et des spectacles pour enfants. Un petit tour par Shanghaï où elle met en scène et joue dans "99

Women", pièce dramatique en 3 langues, et participe à la création d’un festival de théâtre francophone.

SOPHIE DURANTE

SA VISION DU MÉTIER :

Explorer des rôles, pour moi, c’est plonger dans le fond de l’âme humaine, s’y perdre un instant, refaire surface pour mieux se retrouver et se connaitre davantage. Chaque pièce est une aventure humaine vertigineuse ; servir la beauté d’un texte, imaginer puis construire les décors, concevoir les costumes, partir à la recherche des accessoires, régler les lumières… tout s’orchestre et se place au fil de l’eau. Les pièces du puzzle, petit à petit, s’assemblent et le paysage apparait.

J’aime la liberté que nous offre le théâtre. Mettre en scène, pour moi, c’est être au service d’un collectif, pour qu’il livre le meilleur de lui-même. J’aime que chacun puisse y apporter, sa touche, sa couleur, et sa créativité. Comme dans "Le père-noël est une ordure", où nous nous sommes offert la possibilité d’adapter cette pièce mythique du Splendid, au contexte local, d’expatriés en Asie.

Enfin, le théâtre, c’est aussi le goût pour les facéties. Comme le jour de la dernière, où la troupe s’est livrée à quelques petites surprises. Les comédiens ont ainsi pu déguster des chocolats au Durian et boire du Baijiu, pour leur plus grand bonheur et celui des spectateurs, hilares !

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SON PARCOURS :

Au début, Sophie ne voulait pas y aller... Peur des autres, peur des moqueries, peur de s’ennuyer… Quelle idée avait eu sa mère de l’inscrire à un cours de théâtre les mercredis après-midi ! Mais à 10 ans on ne choisit pas toujours… Puis vint le jour de la représentation et abracadabra, la magie opéra : le théâtre est devenu une passion !

Elle intègre à l’âge de 10 ans une troupe de comédiens, puis prend quelques cours sur Paris (Florent, Simon). Après une longue absence, elle remet le théâtre au cœur de sa vie, à son arrivée à Singapour en 2010. Elle donne des cours de théâtre pour enfants pendant plus de 5 ans, crée "Shutonjoue" avec Thi-Lien Margaillan et Emilie Borrel. Elle adapte avec Emilie "Le père noël est une ordure", et remonte sur les planches, dans "Yes Ma’Am" une création de Sophie Colombet, puis dans "L’Atelier" de Grumberg mis en scène par Laetitia Cappoen en 2017.

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Sophie

a mis en scène

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2015 - Le père noël est une ordure

Tanja Jacober

Tanja

a mis en scène :

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2016 - Un air de famille

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Tanja

a mis en scène

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2015 - Un air de famille

SA VISION DU MÉTIER :

"J’aime cette idée de Pina Bausch : Ce n’est pas la manière dont les gens bougent qui m’intéresse mais ce qui les fait bouger.

Je suis fascinée par le corps de l’acteur et comment les mots peuvent couler de ce corps en vibration. Un corps pleinement échauffé, éveillé et généreux est essentiel pour que l’acteur puisse émouvoir sur scène. Il m’arrive de zapper complètement l’histoire en étant happée par les acteurs qui m’émeuvent, par ce qui les met en mouvement ! Oui, j’avoue, parfois ma fascination pour ces corps prend le pas sur la vue d’ensemble du travail de mise en scène. Heureusement que "ma" famille était distraite par l’image de chien ébouriffé !"

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SON PARCOURS :

C’est en Allemagne que Tanja a découvert très tôt le théâtre. A l’âge de 15 ans, le rôle de Wendla, dans "Le réveillon du printemps" de Frank Wedekind, a confirmé son désir d’être sur scène. En 2007, elle a été diplômée à l’École Supérieure d’Art Dramatique de la ville de Paris (ESAD) et a partagé son temps entre la scène et les cours de théâtre pour enfants.

Depuis son retour en Europe, elle travaille en tant que traductrice pour l’université de Zurich. Néanmoins, elle souhaite très prochainement réaliser son rêve de monter et jouer des pièces de théâtre pour un jeune public.

Vous avez pu l’applaudir dans : "Les liaisons dangereuses", "Les femmes savantes", "Les palmes de Mr Schutz", "Deux sur la balançoire".

GÉRALDINE GITEL

SA VISION DU MÉTIER :

"Quand je mets en scène un spectacle, je pense toujours au public : comment l’émouvoir, le divertir, le surprendre, le questionner ?

La mise en scène, c’est le plaisir de créer un spectacle ensemble, avec les acteurs bien sûr, mais aussi grâce au regard et à la participation du public. C’est aussi l’immense joie d’oser essayer, de se tromper, de défaire pour tenter autre chose et d’explorer avec une exigence toujours accrue. Et bien sûr, le bonheur infini de retomber dans l’enfance en jouant, en s’amusant, en créant des personnages et en racontant des histoires.

Le moment le plus satisfaisant éclate en observant les acteurs prendre leur envol sur scène et en sentant vibrer le public."

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SON PARCOURS :

Après un master en communication à l’IEP de Paris, Géraldine a étudié le théâtre au Cours Simon à Paris, puis à la London Academy of Music and Dramatic Art (LAMDA) à Londres. Avec The Theatre Factory, elle a mis en scène "Le Carton"  de Clément Michel, "Les Palmes de Monsieur

Schutz" de Jean-Noël Fenwick et joué le rôle d’Armande dans "Les Femmes Savantes". Géraldine a également enseigné le théâtre à Londres et réside actuellement à Bruxelles. 

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Géraldine

a mis en scène

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2014 - Le carton

2016 - Les palmes de Monsieur Schutz

Jean-René Gossart

Sophie

a mis en scène

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2015-Le père noël est une ordure

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JEAN-RENÉ

a mis en scène (à Singapour):

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2013 - Le journal d'un fou

2014 - Jean et Béatrice

2015 - Le dîner de cons

2016 - L'éducation de Rita

2016 - Nos femmes

2017 - Le souper

SA VISION DU MÉTIER :

"45 ans de métier, 45 ans de bonheur absolu, celui d’être allé des milliers de fois à la rencontre du public, et d’avoir senti aux saluts qu’on avait mis un peu de joie et de lumière dans sa vie. Lors d’une représentation du "Dîner de cons", un échange de répliques entre Pignon et Brochant déclencha un fou-rire entre les acteurs, qui très vite gagna le public…Pendant plus d’une minute, il devint impossible aux deux acteurs de continuer à jouer, les spectateurs et eux réunis dans une profonde hilarité collective. C’est cela aussi un des miracles du théâtre, ces moments rares où spectateurs et acteurs ne font plus qu’un."

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SON PARCOURS :

Premier prix de conservatoire, compagnie Robert Hossein pendant 17 ans, 70 pièces jouées, 33 mises en scène et plus de 12,000 représentations à travers le monde, 30 téléfilms, 20 films.

Jean-René crée la compagnie du Caméléon, fonde le Théâtre 93 à Paris, est professeur au Cours Florent, dirige une école de formation d’arts scéniques au théâtre du Gymnase et une maison de production "Esther Films Production". En 2019, il créé un festival de théâtre inter-Asie, AIFA  (Asian International Festival of Arts) qui consiste à faire tourner 15 spectacles dans 12 pays d'Asie.

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